Premier contact avec Québec
Décembre 2000

7 décembre 2000: Vue de la fenêtre de chez Romain, il a neigé cette nuit... Et il neige encore!


9 décembre 2000: Mémé Flo avec quinze de ses vingt descendants

9 décembre 2000: Le gâteau d'anniversaire de Mémé


Contrairement à ce qu'on pourrait penser, ce n'est pas une patinoire, mais le fleuve Saint-Laurent


Luc fait son travail d'école dans la cuisine de Romain





On visite un peu...

Centre d'Interprétation de Place Royale, décembre 2000

Le Québec était très religieux jadis....



Un village de glace édifié dans la cour du Musée de la Civilisation, Québec, décembre 2000





Une maison typique de l'architecture québécoise, avec sa "galerie" courant tout autour. Celle-ci se trouve en plein coeur de la ville. N'est-ce pas qu'elle est belle?



C'est Noël!

On vous présente Vahinouk, le plus beau cadeau du Père Noël!




Luc n'a pas été oublié non plus...



Il a beaucoup neigé, et ce monsieur déneige... son toit! Pour les âmes sensibles: il était assuré par un harnais et une corde...





Deux des crèches de l'exposition de crèches à la Bibliothèque Gabrielle-Roy: les photos et les films étaient rigoureusement interdits, c'est donc une exclusivité rapportée au péril de notre vie!






On a trouvé notre bonheur!

Voici en exclusivité sur notre site la première photographie de notre VEHICULE RECREATIF MOTORISE!







Mais on n'est pas encore partis vers le Sud



Au cas bien improbable où vous ne le connaîtriez pas encore, voici le célèbre Château Frontenac , que le monde entier nous envie!




Et en complément (sans supplément de prix), voici le Funiculaire , qui permet aux paresseux d'éviter de monter à pieds par les escaliers. Ces escaliers, dont l'un s'appelle (ça ne s'invente pas) l'escalier "casse-cou", relient la terrasse Dufferin, qui jouxte le Château Frontenac (au fait, vous ai-je déjà parlé du Château Frontenac?), et le quartier de Place Royale, au pied du Cap-Diamant








Cette composition très originale d' art contemporain s'intitule "Lendemain du Jour de l'An sur la rue Cartier" , et toute ressemblance avec des bouteilles vides abandonnées négligemment dans la neige par des fêtards sans scrupules est parfaitement normale...










D'après Emmanuel, les beignes sont les meilleurs gâteaux au monde. Surtout ceux de Dunkin Donuts. La forme typique d'un beigne est celle d'un anneau, bien que certains, fourrés à la confiture, soient pleins. Un bon conseil pour ne pas" engraisser": vous pouvez manger des beignes à volonté, à condition de ne manger... que les trous!



On patine devant la porte Saint-Jean, l'une des portes qui donne accès au Vieux-Québec, à l'intérieur des remparts





Parmi les joies de l'hiver, le déneigement des toits est un sport absolument unique pour vous procurer le grand frisson





Croyez-moi, cela bat le saut à l'élastique! Le bâtiment que cet aventurier est en train de déneiger est l'Assemblée Nationale, ou Parlement de Québec.





Pour en terminer avec les joies de l'hiver, voici le Palais de Glace du Bonhomme Carnaval , en cours de construction. Le carnaval ouvre ses portes le 26 janvier. Au programme: concours de sculpture en glace, parades, danses, chants et beuveries... Tout ça pendant la période la plus froide de l'hiver...


Le Bonhomme Carnaval ressemble à un gros bonhomme de neige, il porte une "tuque" (un bonnet) rouge et une "ceinture fléchée" (ceinture tissée typique de l'artisanat canadien français). Mais comme on quitte Québec avant l'ouverture du Carnaval, on ne vous le montrera pas!



Profitez de ces dernières images de maisons emmitouflées dans la neige, lorsque nous reprendrons l'antenne, nous serons sous d'autres cieux... et d'autres climats!





La grande migration
Janvier 2001

Départ de Québec, 21 janvier 2001: il fait -20°C et il fait gris...

Courage, Emmanuel, ce n'est que le début!

Le ciel est déjà beaucoup plus bleu de l'autre côté de la frontière

Le soleil se couche sur la deuxième journée de voyage

Quelques images volées à la côte Est...

Et à la Caroline du Nord...

Nous voilà enfin arrivés quelque part!

C'est beau, on aime... mais c'est encore un peu trop frais à notre goût. Ici, la plage de Myrtle Beach.
Hors saison, elle a beaucoup de charme.

Encore un petit effort, et c'est la Floride!


Lac Okeechobee, Floride
Fin janvier 2001

Le lac Okeechobee, au Sud de la Floride, est l'un des plus grands des Etats Unis, si l'on exclut les "Grands Lacs" de la frontière Américano-Canadienne.)


Quoique très étendu, il est très peu profond: maximum 7 à 8 mètres.


A plus d'un kilomètre du bord, certains échassiers ont encore pied...


C'est donc un vrai paradis pour les oiseaux. Ici, le grand héron bleu, très proche de notre héron cendré.


Ici, une aigrette neigeuse, la jumelle de notre aigrette garzette...


Qui dit paradis pour les oiseaux dit paradis pour les amateurs d'oiseaux!


On a trouvé une noix de coco!
Et c'est toute une affaire pour la manger...

Février 2001, Stuart, Florida...

On attaque l'enveloppe externe à l'opinel



On enlève la bourre au tournevis




Le travail acharné porte ses fruits...





On voit en effet apparaître la noix elle-même, et ses trois petits yeux...




Encore un petit effort...



La noix est assez dégagée, on tire dessus... Victoire!!!




Bravo Papa! (And there was much rejoycing...)




On se prépare à percer un trou avec une mèche



On peut enfin récupérer le jus ("l'eau de coco"). Ca tombe bien, tout ce travail nous a donné soif !

On la frappe violemment par terre pour la casser

Bravo Maman !

Mmmmm ! ! Ca sent bon ! !



Ce n'est pas mauvais non plus...


2001, l'odyssée de l'espace

Décollage de la navette spatiale Discovery

8 mars 2001, 6h42, Cape Canaveral, Florida...

Le soleil se lève à peine sur l'Indian River



Mais le public est dèjà là, depuis très tôt dans la nuit.




A l'heure dite, un nuage de fumée s'élève du pas de tir...





Et la navette spatiale...




s'élève...



lentement...




vers le ciel...




Elle prend de l'altitude



et étincelle dans le soleil levant.

Elle est étrangement précédée d'une sorte de grand arc violet...

C'est l'ombre de la fumée, projetée dans le ciel par les rayons du soleil levant !

Puis la navette se désolidarise de cet arc violet. Est-elle en train de tomber ?



Suspense intolérable ...
C'est exactement ici que mon camescope est tombé en panne de batterie... (Pendez-la !!!)



On recharge vite fait la batterie, mais la navette est hors de vue,



elle ne nous a laissé que son sillage de fumée, qui se dissipe lentement dans le soleil levant...
Et si vous suivez les informations à la télé, vous savez si elle est tombée ou non ...


D Day sur la plage de Cedar Key, Florida
Mars 2001

A marée montante, par un soir d'orage, d'étranges chars d'assaut accostent sur la plage!

Ces animaux étranges, venus du fond des temps, étaient déjà là avant les dinosaures.



Ils arrivent le plus souvent par paires, le mâle se laissant remorquer par la femelle, prouvant par là-même que le machisme est aussi vieux que le monde...




Juste à la limite des vagues, la femelle s'enterre dans le sable. Bientôt on ne peut plus la repérer que par la présence du mâle, toujours aussi empoté et passif.





Après un temps qui paraît très long aux âmes sensibles (et aux claustrophobes), la femelle surgit du sable comme un diable à ressort.




Elle sort du trou où elle a déposé ses oeufs



et regagne d'un pas décidé son élément aquatique, traînant toujours l'empoté de service.




Si vous croyez que je suis de mauvaise foi au sujet des mâles, regardez plutôt ce qui arrive aux malheureux qui se retrouvent largués...




Heureusement que des âmes compatissantes les aident à se remettre sur pattes!



La plupart de temps cependant, le couple regagne la mer sans intervention divine...


Et les limules s'en retournent au fond des océans mystérieux...



Petite balade dans la Nouvelle-Orléans
Avril 2001

Berceau du Jazz, hymne au métissage...

Pourquoi ne pas se rendre à New Orleans en traversant le Mississippi?


Dès notre arrivée, nous sommes accueillis par...


un monument dédié aux immigrants et à l'immigration, encore paré de quelques perles de MARDI GRAS



Pendant ce temps, la promenade du matin commence à bord du steamboat Natchez



Un panneau nous rappelle qu'autrefois la Louisiane fut française




Il en reste d'ailleurs plus d'une trace






C'est dimanche, il fait un temps radieux, et les calèches attendent le touriste, devant Jackson Square.



Au fond, la Cathédrale St-Louis chauffe sa façade au soleil du matin.



Mais qu'y a-t-il donc de spécial à New Orleans?









Ah, tiens?









Vous voyez quelque chose?











ça commence à venir?




Et eux, pensez-vous qu'ils ont compris?



Pas besoin d'être une lumière!



Après cette belle promenade, rien de telle qu'un petit casse-croûte à l'ombre des magnolias de Jackson Square!



Ensuite il faut rentrer. Au revoir, New Orleans! Certainement pas adieu!


Une ancienne plantation de canne à sucre

En Louisiane...

Musée de la Vie Rurale de Bâton Rouge

Avril 2001

Voici les authentiques outils utilisés jusqu'au début des années soixante dans une plantation de canne à sucre de la région de Bâton Rouge.

Au premier plan, l'extracteur de jus de canne, au fond, la cabane à sucre (sugar house).


Pour extraire la sève sucrée des cannes à sucre, on les faisait passer entre ces deux cylindres, qui étaient mûs par une mule ou un autre animal de trait.











La sève récoltée tombait dans des tonneaux et était ensuite transportée dans la "sugar house".



Cette sorte de cabane à sucre est appelée "train jamaïcain", car la méthode a été importée des Antilles

On construisait un feu juste au bord, sous la petite marmite du bout.

Il y avait en effet plusieurs marmites alignées, la plus grande au fond, loin du feu, la plus petite au bord, juste au-dessus du brasier.










La cheminée située au fond aspirait la fumée et la chaleur, aussi on avait un gradient de température, la marmite la plus petite était aussi la plus chaude, et vice-versa.










Cela correspond aux différentes étapes au cours desquelles le jus de canne était purifié par écumage et concentré par évaporation, la dernière étape se produisant juste au dessus du feu avec le début de la cristallisation du sucre.








Une fois la cristallisation amorcée, on la laissait se poursuivre lors du refroidissement du sirop dans des bassines. Le jus noirâtre qui résulte de l'égouttage du sucre est de la mélasse. On en mange au Québec, sur des "pancakes", et on en fait des gâteaux.

D'ailleurs, sur les paquets de mélasse, on trouvait toujours ce genre de dessin, en tout cas sur celle de marque "Aunt Jemima"!

On m'a toujours dit que la mélasse est très riche en fer, et donc excellente pour la santé!


Promenade au Texas, avril 2001
C'est ici que commence l'Ouest Américain!

Les terres sauvages pour les gens sans foi ni loi!

Mais dans l'Est de l'Etat, c'est plutôt la prairie, et au printemps c'est grandiose...

Même plus à l'Ouest, magré le climat aride, on est charmé par la floraison printannière: il a "beaucoup" plu, cet hiver!

Le désert a beaucoup de charme, le Parc National de Big Bend vaut le "détour": Une journée entière de route déserte, sans RIEN que des broussailles sèches clôturées de barbelés pour s'y rendre. N'oubliez pas votre réserve d'eau avant de partir! Mais ça vaut le coup.

L'étoile solitaire de l'Etat du Texas brille au sommet du dôme du capitole, à Austin.

Tandis que tout au Sud, c'est le Royaume des "Mesquite", des figuiers de Barbarie, et du Caracara huppé!



Louisiane du Nord, mai 2001
Imaginez que vous vous asseyiez tout près d'une mangeoire d'une forme bien particulière: un abreuvoir à oiseaux-mouches...

On n'a pas longtemps à attendre, voici le premier visiteur...


Bientôt suivi d'un autre...


Chez ces colibris à gorge rubis, il y a un dimorphisme sexuel: la femelle et le mâle sont assez différents.
















Le mâle est plus petit, son dos est d'une vert plus brillant et sa gorge est rouge rubis.

















La femelle est plus grande, d'un vert plus olive, et elle n'a pas de rouge à la gorge.








Autour de l'abreuvoir, ça commence à se bousculer un peu!







Les oiseaux-mouches essaient de s'impressionner les uns les autres: ils volent sur place en faisant face aux nouveaux-venus, tout en étalant la queue. C'est très amusant à observer!













Croyez-le ou non, j'ai compté jusqu'à 20 de ces petites merveilles bourdonnantes autour de ces abreuvoirs!









Little Rock, septembre 1957

Un voyage dans le temps...

Il était une fois dans la petite capitale d'un petit Etat du Sud "sans vrai problème de racisme", deux High Schools. L'une pour les blancs, l'autre pour les noirs.

L'école des blancs était la plus grande, la plus moderne et la plus belle des High Schools. Elle avait été construite au début du siècle dans le style "art déco" et avait une réputation d'excellence. Elle s'appelait (et s'appelle toujours) Central High School.

L'école des noirs n'était pas mal non plus, ... pour des noirs... On y donnait des cours sur l'histoire du peuple noir. Mais elle recevait deux fois moins de crédits de fonctionnement, ses professeurs recevaient un salaire inférieur à celui des professeurs blancs, elle n'avait aucun équipement sportif, et sa bibliothèque était constituée... des livres dont se débarassait l'autre High Scool.

Le 2 septembre 1957, jour de la rentrée, 9 étudiants noirs devaient pour la première fois entrer à Central High. Trois garçons et 6 filles. Leur motivation première était d'entrer dans la meilleure école possible, et, pour se conformer à divers jugements des tribunaux fédéraux, la Commission scolaire de Little Rock avait engagé un plan de déségragation qui devait s'étaler sur plusieurs années.

Mais un groupe de citoyens indignés avait commencé à protester contre l'entrée des "nègres" à High School. Le gouverneur Faubus, qui avait d'abord affiché des vues anti-ségrégationnistes, ne voulait pas risquer d'être impopulaire, et de perdre les prochaines élections.

Aussi, pour "protéger l'ordre public et les étudiants noirs contre les éventuels débordements", envoya-t-il la garde nationale de l'Arkansas pour monter la garde devant Central High... et refouler les étudiants noirs!

Quant à protéger les étudiants noirs, il faut croire que la consigne avait été perdue en cours de route, car c'est sans aucune aide que des gamines de 15 ans durent affronter la foule vociférante venue les accueillir.

La presse, fort heureusement, couvrit l'événement, avec persévérance, pendant plusieurs semaines. Seule la mise en orbite du premier russe, Youri Gagarine, éclipsa un moment, dans les journaux nationaux, la crise de Little Rock. Il faut dire que la situation était plus que tendue à l'entrée de l'école, les échauffourrées se multipliaient, et un journaliste noir fut violemment agressé.

Le gouvernement fédéral réagit très rapidement, en la personne du Président Eisenhower, en envoyant les troupes pour rétablir une autre forme "d'ordre public". Cette fois, les soldats étaient là pour permettre aux étudiants noirs d'entrer dans l'école et d'y suivre leurs cours. Ils restèrent là tant que leur présence fut nécessaire.

A l'intérieur de l'école cependant, une minorité d'activiste ségrégationnistes menèrent la vie dure aux neufs étudiants noirs. Bien que très minoritaires, ils savaient se rendre insupportables. Insultes, moqueries, et violence physique: leur "truc" préféré semblait être de pousser la victime dans les escaliers, ce qui pouvait éventuellement passer pour un accident involontaire, une simple bousculade...

Dans toute cette violence stupide et bête à pleurer, une série d'incidents mettant en jeu du "chili" renversé nous a fait rire un peu. Apparemment, ils en mangeaient souvent, du chili... Et le jour où l'une des étudiantes noires, sans doute un peu moins patiente que les autres, en a versé sur ses agresseurs, a commencé "la guerre du chili"...

Vive Minnijean Brown! Définitivement renvoyée après avoir traité l'un de ses agresseurs de "White trash" (ordure blanche), elle quitta la région avec sa famille et finit sa scolarité dans une High School de New York.

Les autres tinrent bon, malgré les menaces qui s'étendaient bien au-delà des salles de cours. Les quelques étudiants blancs qui eurent la témérité de parler aux noirs comme s'ils étaient des gens normaux furent aux aussi menacés (lettres, coups de téléphone, vandalisme...).

A la fin de l'année, Ernest Green fut le premier étudiant noir à "graduer" à Central High.

40 ans plus tard, une cérémonie officielle eut lieu, et il fut décidé de créer, dans une station service abandonnée située juste en face de Central High, un petit musée, le Magnolia, où nous avons pu apprendre cette histoire banale et effarante.

Le plus effrayant, dans tout cela, c'est que, comme le déclarait un responsable noir de l'Association pour la Promotion des Gens de Couleur: "Rien ne nous assure que cela ne pourrait pas se reproduire maintenant."



Promenade hors du temps, le long du Blue Ridge Parkway...
Juin 2001

Faites donc un bout de chemin avec nous!

Le mois de juin voit la floraison des rhododendrons et des "moutain laurel"

Rien ne presse, prenez le temps de faire l'un ou l'autre des sentiers qui émaillent le parcours...

Apprenez comment fonctionnait un ancien moulin...

Ou arrêtez-vous au jardin botanique d'Ashville, où il pousse de bien étranges végétaux!

Si c'est le passé qui vous attire, faîtes un détour par le bon vieux temps des pionniers en visitant une vieille ferme de montagne.

Vous y découvrirez l'ancêtre des glacières et autres réfrigérateurs, la "spring house".

Et aussi comment on transportait les rondins, avant l'ère du moteur à explosion...

Ailleurs, comme dans ce "manoir" du XIXème siècle, vous pourrez admirer de jolies pièces d'artisanat! De quoi vous donner des idées pour les futures soirées d'hiver, au coin du feu...

Mêmes les haltes nocturnes dans les aires de repos sont l'occasion de vous instruire... sur les différents types de clôtures, par exemple!

Mais, vous pouvez aussi vous contenter de vous régaler avec les fraises des bois que vous avez trouvées!

Cette route s'appelle le Blue Ridge Parkway . Elle s'étend sur près de 1000 kilomètres, mais croyez-nous, on n'y voit pas le temps passer!




Envie de vous retrouver dans un film de Disney?
Appalaches, juin 2001

Mais qui frappe à la porte?

C'est qu'elle a l'air d'attendre quelque chose en plus!

Elle se lasse pourtant d'attendre en vain et s'en va chercher pitance ailleurs...

Il vaut en effet beaucoup mieux pour elle se nourrir de plantes sauvages, comme celle-ci, à Big Meadows, dans le Parc National de la Shenandoah.

Si vous regardez bien, vous pourrez même apercevoir un faon couché dans l'herbe...

Ou en train de chercher quelque herbe parfumée à se mettre sous la dent.

Mais il y a aussi des marmottes...

des tamias...

des mouffettes...

Et même des ours!!

C'est ça l'Amérique!



Sur la piste du castor
Parc national Forillon, Gaspésie, Québec
Septembre 2001

Autrefois, les peaux de castor servaient à faire des chapeaux de feutre...

On reconnaît la présence d'un castor à quelques dégâts qu'il fait à la forêt

Et quand on regarde de plus près, le coupable ne fait aucun doute!

Un peu plus loin, on tombe sur cet ouvrage, un barrage!

Ce barrage a créé un petit étang et fait mourir de nombreux bouleaux!

Cet ouvrage assez considérable ne lui a pas pris plus d'une journée à construire, et même si on lui détruit, il recommence, indéfiniment. Des scientifiques qui voulaient savoir combien de fois il était prêt à recommencer se sont lassés avant lui!

Tout près du barrage on aperçoit sa hutte.

Peut-être qu'en attendant à côté...?

Mais oui!

Le voilà qui arrive!

Il vient travailler à son barrage.

Correction, ILS viennent travailler à LEUR barrage!

On dirait qu'ils ont beaucoup de choses à se dire... On va s'en aller sur la pointe des pieds...


La deuxième partie du voyage
Juin 2002 - Sas de décompression au Québec

Une petite séance d'improvisation musicale chez Romain...


Devant la maison de Jeanne à St-Viateur.

C'est une maison traditionnelle construite en 1840. Les murs sont formés de troncs d'arbre équarris (technique "pièce sur pièce"), et les façades recouvertes de planches. Les toitures rouge vif comme celle-ci sont fréquentes au Québec, de même que les toitures bleues, ou vertes...


Yellowstone et Grand Teton
Juillet 2002

L'un des nombreux geysers du Parc National de Yellowstone


Old faithful, le plus célèbre d'entre eux. Il fait éruption environ toutes les 90 minutes. On y est allé les mains dans les poches, et à peine était-on arrivé pour attendre sa venue qu'il s'est majestueusement élevé vers le ciel... Il y en a qui ont toutes les chances, pas vrai?


Ces cerfs viennent s'abreuver aux sources chaudes, comme le font aussi les autres animaux du Parc: bisons, chevreuils, etc.


Un peu au Sud de Yellowstone se trouve le Parc National de Grand Teton. Les Américains pensent qu'il s'agit d'un nom d'origine amérindienne. Ils oublient que les premiers à explorer ce territoires étaient des trappeurs français qui n'avaient pas vu de femmes depuis une éternité...


Bryce Canyon

Notre préféré, à égalité avec Yellowstone: le Parc National de Bryce Canyon...


Pour en savoir plus, lisez la page de Nicolas!


Les photos sont loin de rendre la beauté féérique de cet endroit, mais, bon, on est trahi par la technique...

Luc dans son rôle célèbre: "Parle avec les corbeaux"...


Monument Valley

Monument valley, le lieu de tournage préféré de John Ford


Le plateau du Colorado

Les magnifiques habitations troglodytes des indiens Anasazi