Un monde nouveau en construction !
Depuis quelques semaines la Halle au Blé d’Alençon est le point de rassemblement des citoyens qui ne se reconnaissent pas dans les dérives totalitaires du monde qui nous enserre.
Quel que soit le fil sur lequel nous avons tout d’abord accroché (l’instrumentalisation de la peur, les données trafiquées, le refus des soins précoces et le déni de leur efficacité, l’enfermement inhumain de nos aînés, le lavage de cerveau culpabilisant imposé à
nos enfants, la censure et la calomnie qui ont frappé toutes les voix dissidentes, la restriction insensée de nos libertés publiques, la mise hors circuit de nos élus parlementaires, la destruction systématique de l’économie réelle, le bannissement de la culture, de la convivialité et de la fête, les incohérences scientifiques d’une politique qui n’a de sanitaire que le nom, l’ingérence de l’État dans nos vies privées, etc.), nous avons commencé à tirer sur ce fil, et tout s’est détricoté ! Leur monde ne tient pas debout. Mais pour le voir, il faut s’échapper de la matrice. Il faut redevenir des êtres humains et affirmer le pouvoir de notre libre-arbitre.
La Halle au Blé est devenue le symbole du nouveau monde qui se cherche et se reconnaît enfin. À travers nos différences, nous sommes unis par une même humanité qui nous traverse et nous porte.
Lorsque nous sommes ensemble, nous nous sentons libres. Il nous faudra le demeurer même si les manifestations qui nous ont réunis au cours de l’été disparaissent un jour. NOUS ne devons pas disparaître.
Depuis longtemps je rêvais d’un véritable journal local, d’un outil de communication et d’information qui soit hors d’atteinte de la censure et de la propagande. Comme toujours, quand ce que l’on cherche n’existe pas, il faut le créer. Ainsi est née La Libre Parole (d’Alençon et d’ailleurs). Je suis heureuse de vous annoncer sa naissance et vous inviter à utiliser cet outil, à indiquer les directions dans lesquelles vous souhaitez le voir se développer, sachant que mon choix éditorial est d’échapper aux diktats de la hâte et de la superficialité.
La Libre Parole est née, souhaitons-lui une longue vie !
Sophie Dubé
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